The pursuit of Diablo RPG

Je reste planqué derrière mon panneau et j'observe... Pour rien au monde je ne quitterais cet endroit qui m'offre un champ de tir idéal. Je reste prêt à faire feu, le doigt sur la détente. Je vois l'étudiant qui se relève mais je me refuse à l'attaquer ne voulant pas révéler ma position pour le moment.

Mael se saisi d'un pilier de séparation (il y en a toujours un peu partout à la fnac), seul materiel utils qu'il détecte dans les environs. C'est un peu lourd, mais ça permetra au moins de tenir les décérébrés à distance, voir de les repousser.

Venceslas se saisit d'un cordon détaché du pilier de Maël. Les crochets en métal aux extrêmités tapent dur.

Mon flingue:
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Boris décide que pour une fois, copier les autres est une bonne idée. Aussi récupère-t-il un pilier de séparation qu'il tient par le haut, histoire de s'en servir comme d'une masse à deux mains, la base du pilier faisant un superbe bout contondant.

Mon canif:

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Debout, la tête dodelinant légèrement d'avant en arrière, le nez encore en sang et la trace d'une semelle encore visible sur le visage, l'étudiant se dirige vers Boris en hurlant... (Phase de combat pour Boris, jet d'init: 1d6 + dex)

De leur position, Crams et Maël, ainsi que Venceslas qui a dû se rapprocher pour se saisir du cordon au sol, voient un autre de ces "furieux" monter avec difficulté du 1er au 2e étage...

Venceslas, n'arrivant pas à déterminer qui de l'étudiant ou de l'ours il faut maîtriser, court accrocher son cordon aux poteaux qui font face à l'escalator montant (s'il y en a), histoire de gêner la progression des timbrés.

Boris se sert de sa nouvelle arme pour tenter de frapper un grand coup contre la face de l'étudiant.

Crams met un de ces monstre en joue. Il se dit que dès qu'il en aura un dans le viseur, il pressera la détente en visant la tête.

...

L'étudiant reçoit la base du pilier de séparation en pleine face. Le coup est porté avec une si grande violence, qu'il s'effondre à nouveau sur le sol, le crâne fendu. Plus jamais il ne se relèvera...

Malheureusement, la façon dont Boris vient de tuer l'étudiant, loin de rassurer les quelques personnes restantes au 2e étage sur leur chance de survie, ne fait que les affoler encore un peu plus.
Pendant ce temps, les trois "furieux" continue leur gauche progression sur l'escalator, progression délicate puisqu'il s'agit de l'escalator qui descend. Ils ne sont plus désormais qu'à 5m de Crams, quand celui-ci voit un autre descend du dernier étage. Il y a, à ce moment, 4 de ces dégénérés qui arriveront groupés dans quelques secondes sur le même palier...

On entend alors crier un de ceux qui s'était caché à la cafet, entre les vitres et les canapés:
"Putain! Et merde! Putain de merde! Ils sont des dizaines dehors! C'est un massacre... On va crevé!"

Boris se met dos au mur, tenant fermement son arme, prêt à l'abattre sur l'un des quatre arrivants si jamais l'un d'eux à la mauvaise idée de l'approcher. Il entend alors le cri venant de la cafétéria. "Merde, ça a l'air de devenir dangereux dans le coin. Enfin encore plus. Putain, réfléchis. Vas-y... Voyons..." Boris ne trouve aucune idée intéressante, et il se prépare à devoir encore se battre, à moins qu'une autre personne présente ait une initiative salutaire.

Vencelas recule et prend une demi-douzaine de secondes pour se dresser une carte mentale de la situation.

Crams fait feu en direction du zombi le plus proche.

Crams tire sur le premier des trois type qui montent l'escalator "à contre-courant". Celui-ci se prend la balle en pleine poitrine, il chute et entraîne avec lui les deux autres jusqu'au 1er étage... Malheureusement, bien que blessés, et même grièvement pour le premier, ils se relèvent et reprennent leur ascension.
Le quatrième quant à lui, celui qui est venu du 3eme étage, s'élance vers le tireur.

(jet d'initiative pour Crams, 1d100)

Mael profite de sa position superieure pour assener des coups à tous les cranes décérébrés qui passent à sa portée. Il n'est pas question que ces types continuent leur assention.

"quelqu'un peut balancer une de ces tv (d'expo celles avec les consoles Xbox1080 et les PS4) dans l'escalator ?! ça les ralentira" en profite t'il pour lacher tout en remuant sa barre métalique.

Les téléviseurs d'exposition, s'ils ne sont généralement pas sous vitrine, ont probablement leur branchements bien planqués ; en tout cas, Venceslas ne considère pas le temps de vérifier, et ne se sent pas la force de soulever un écran plat géant. Il part en quête d'un autre cordon à détacher.

(heureusement que Mael ne pensait pas particulièrement au type dont il ignore totalement l'existance, et qu'il ne s'est pas demandé quant a lui s'il disposait de la force nécessaire pour taper avec un truc plutot lourd et peu maniable des types probablement inconscient de toute douleur, suposant inconsciement que, nécessité faisant loi, il trouverai la force de le faire...)

(Concernant le poids des piliers, Maël et Boris ont non seulement la capacité de les soulever mais aussi de s'en servir comme arme; ce qui n'est absolument pas le cas de Crams et Venceslas, qui n'ont pas la force nécessaire...)

Boris décide de suivre les indications de Maël. Il jette son pilier en direction de l'assaillant de Crams et se dépêche de chercher une des télévisions d'exposition pour la jeter dans l'escalator avec les trois timbrés.

Doué d'une force impressionnante, Boris parvient a lancer son pilier de séparation en direction du "furieux", malheureusement celui-ci étant en mouvement, l'objet passe juste derrière lui et tombe au sol dans un grand fracas.

Arrivé jusqu'à Crams, le "furieux" lui envoie son poing dans un énorme mouvement rotatif qui manque sa cible. Crams y a échappe de peu, mais le panneau "World of Warcraft", derrière lequel il s'était caché, est totalement détruit.

Et tchac, coup de canif dans la jugulaire!