Tu sembles vouloir reprendre la conversation (quoique tu gueulais) que nous avons eu, et cette fois en public, comme d'habitude. Bon, ok. Alors oui, je n'ai pas toqué. Mais à chaque fois que je rentre à la maison, j'entre quelques secondes dans ta chambre pour te saluer et voir comment tu vas, surtout quand celle-ci n'est pas fermée. Et oui, j'ai ouvert ma bouche. Mais bon, quand j'entends un "DEGAGE" avant même que j'ai analysé la situation, je n'obéis pas directement. Au bout d'une seconde (même pas deux, sérieusement), tu as bondi de ta chaise en me hurlant dessus et en voulant m'envoyer la porte dans la gueule (et ce n'est pas une exagération, vu que si je n'avais pas sauté en arrière je me la prenais sérieusement en pleine tronche). Alors bon, je le répète : je ne suis pas ton chien. Je n'ai pas pour habitude d'obéir à des ordres instinctivement, sans même réfléchir deux secondes. Alors oui, j'aurai peut-être dû sortir, mais ta façon de faire ne se justifie pas, même si tu es dans ta chambre. En aucun cas la violence verbale ou physique n'était justifiable. Aussi, toi qui me traite d'irrespectueux, tu devrais réfléchir à comment qualifier les choses si la porte, je l'avais reçu dans la tronche. "Une juste punition" ou "un acte irréfléchi et regrettable" ? Parce que bon, là, je te qualifie d'impulsif et de violent. Mais comme d'habitude, tu expliques en long et en large devant tout le monde le vil mécréant que je suis, et les reproches des autres glissent sur la surface de ta peau, toi qui m'es supérieur en tout point (parce que c'est la conclusion à laquelle j'arrive à force de voir que tout est mal chez moi, et que tout est bien chez toi).
A noter une chose : j'aimerai bien que tu arrêtes d'essayer de me rabaisser et de te moquer de moi constamment (surtout en te plaignant auprès des autres), parce que de un, je fais actuellement des efforts pour éviter de casser du sucre sur toi quand tu ne me dis rien, et de deux, j'avoue trouver cela plutôt vexant que des personnes que j'ai vu trois ou quatre fois dans ma vie me critiquent sur ma façon de vivre parce que tu t'es plaint de cela chez elles.